Il existe une bible satanique inscrite dans le zodiaque. Son contenu est révélé dans les cultes à mystères des prêtres chaldéens, perses, grecs et catholiques , qui la diffusent au travers du temps par les fêtes liées au culte solaire, ravivant ainsi le souvenir des pratiques passées. Par exemple au solstice d’hiver on honorait Tammuz, puis Mithra et aujourd’hui Jésus qui est utilisé comme un masque.
Le soleil au cours de l’année agit comme un doigt qui suit les lignes du livre zodiacal, il est aussi le symbole de celui qui éclaire les hommes dans la compréhension du texte énigmatique qui doit être interprété. Dans l’antiquité il s’agissait du roi divinisé comme en Egypte.
Râ et le pharaon : Khephren (mort vers 2620 av. J.-C.) consacre la filiation solaire de Pharaon, les rois deviennent en effet « fils de Râ »). Tandis que le roi régnait sur terre, Râ était le maître de l’univers, ainsi ils étaient de la même nature et chacun était le reflet de l’autre. Dans la vie, c’est le roi qui commande les humains, récompensant les obéissants et détruisant le désobéissants, et dans la mort, c’est Râ qui remplit ce rôle. Râ fut de plus en plus associé au roi, qui était humain et dieu en même temps. C’est probablement Radjedef qui, le premier, a introduit le nom de « Fils de Râ » dans la titulaire, nom dont l’usage perdurera jusqu’à la fin de l’époque pharaonique.
L’obélisque deviendra le symbole de cette union solaire, car il symbolise le soleil et pharaon. Le soleil est l’image du fils qui éclaire, lui même porté par celui qui tient la lumière, le porteur de lumière, Lucifer chez les catholiques.
On comprend cette obsession contemporaine à mettre des obélisques aux points stratégiques des centres importants pour la direction des hommes. Pae exemple devant la basilique Saint Jean de Latran de Rome ou entre le parlement et l’église de la Madeleine en France qui représente la loi et l’Esprit avec au centre le guide, le fils solaire, parodie satanique de la transfiguration où Jésus éblouissant avait à ses côtés Moïse et Elie, soit la Loi et les prophètes..
Le diable se tient donc à une logique qui reste immuable au fil du temps. Il suit le cheminement de son livre zodiacal en le réactualisant au fil du temps et des civilisations. A l’occasion je vous lirai et expliciterai son contenu, mais pour l’heure restons dans le sujet du jour, des signes et des temps. Le livre s’achève dans le verseau, ce qui signifie renversé, retourné. Au terme des jours le vainqueur renverse l’adversaire et impose définitivement son règne sur l’autre. Voilà le but.
Matthieu 16 : 1 Les pharisiens et les sadducéens abordèrent Jésus et, pour l’éprouver, lui demandèrent de leur faire voir un signe venant du ciel.2 Jésus leur répondit: Le soir, vous dites: Il fera beau, car le ciel est rouge; 3 et le matin: Il y aura de l’orage aujourd’hui, car le ciel est d’un rouge sombre. Vous savez discerner l’aspect du ciel, et vous ne pouvez discerner les signes des temps.
Le mot signe, « semion » en grec aurait une origine sémitique le mot racine Sym, placer, nommer quelqu’un. Le verbe sayyem qui se présente comme un intensif du précédent existe en judeo-araméen dans le sens de marquer.
Le signe désignait anciennement le terme de seing, signum, et se prenait pour le sceau ou cachet particulier, dont chacun usait pour sceller et adopter les actes qu’il passait ; ce seing ou sceau tenait alors lieu de signature, car tout le monde ne savait pas écrire. Le signe dans le sens de marque ou sceau, devient avec la généralisation de l’écriture une signature qui remplace donc la marque. La signature ou le nom devient ainsi la marque ancienne. Porter le nom revient donc à porter la marque, comme les chrétiens qui portent dans leur nom la marque de leur Dieu, le Christ. La foi dans le Verbe est le signe du divin sur l’homme. Deutéronome 6:8 (mes commandements) Tu les lieras comme un signe sur tes mains, et ils seront comme des fronteaux entre tes yeux.
La logique satanique du signe s’inscrit dans un autre registre. Dans l’antiquité le mot « Signe » servait « à désigner les astres et les constellations en tant qu’ils sont les « signes » présumés de phénomènes terrestres ou atmosphériques et d’événements de la vie humaine »
Ce mot qui vient du latin « signum » est l’équivalent du mot grec « séma » ou « semeion » avec le sens de « marque », « point de repère », utilisé dans le sens de figure, image. Bref il désigne d’abord un groupe d’étoiles. Or les mots signum ou semeion étaient en fait la transposition des mots « Gishur » en sumérien et « Usurtu » en akkadien. Mots qui représentaient un signe sidéral, une image constellée puisqu’ils signifiaient aussi « dessin » ou encore « tableau » ou « image ».
Le diable va donc nous façonner des signes qui entrent dans sa logique, comme ce crop circle.
Le 3 aout 2004 en Grande-Bretagne à proximité du tumulus de Silbury Hill (site de Stonehenge), un Crop Circle extrêmement élaboré a été découvert dans un champ. Désigné par de nombreux spécialistes comme « le crop circle de l’année » et aussi grand qu’un terrain de football, le Cercle de récolte fait directement référence au calendrier Maya et à ses symboles.
Baptisé « Jour du Destin » par certains, « Jugement Dernier » ou encore « Fin des Temps » par d’autres, ce majestueux cercle de cultures de plus de 150 mètres de diamètre évoque irrésistiblement la symbolique des anciens calendriers mayas et aztèques.
Steve Alexander, un expert qui a photographié des centaines de cercles de récolte à travers le monde, commente cette incroyable formation : « C’est le cercle de récolte le plus complexe que j’ai jamais vu! je sais qu’un tas de gens pensent que tous ces cercles sont faits artificiellement par la main de l’homme, mais pour celui-ci c’est très peu probable. Cela prendrait des jours pour réaliser un dessin aussi gigantesque : or ce cercle est apparu en une nuit ! »
Le cercle de récolte présente sur son pourtour une suite binaire bien connue des anthropologues spécialistes de l’Amérique précolombienne. On en retrouve notamment des éléments sur le socle circulaire d’une statue du XVIème siècle représentant le dieu aztèque Xochipilli et découverte dans les années 1850 sur un versant du volcan Popocatépetl, près de Tlamanalco au Mexique.
Xochi signifie fleurs ou végétation et Pilli signifie Prince. Dans la tradition maya-aztèque, Xochipilli est le dieu de la végétation, des fleurs et des récoltes, mais aussi celui de l’amour, de la beauté, de la musique et de la danse. La statue est faite d’une seule pièce, et d’après le grand anthropologue espagnol Carlos Barrios, qui a passé 25 années au Guatemala chez les Mam, »les Gardiens du Temps » selon la tradition maya, elle représente le dieu assis sur la Terre en train d’organiser et d’harmoniser les cycles du temps.
Selon les Olmèques, les Mayas et les Aztèques, ainsi d’ailleurs que dans la tradition indienne et mésopotamienne, le temps n’est pas linéaire mais procède de cycles qui se répètent continuellement : de la même manière que les planètes, les systèmes solaires et les univers naissent, meurent et renaissent de leurs cendres, les particules du temps se répètent indéfiniment en s’enroulant autour d’elles-mêmes sur le serpent de l’infini.
Les différents calendriers Mayas et Aztèques présentent tous l’année 2012 comme marquant la fin du Cycle actuel, celui du « Quatrième Soleil », et le commencement d’un nouveau Soleil, le Cinquième, celui de l’àge Cosmique dont on ne peut se faire aucune idée à travers nos repères actuels.
C’est pourquoi l’extraordinaire cryptogramme de Silbury Hill, inspiré de ces calendriers, se réfère probablement lui aussi à cette échéance de l’année 2012, le point zéro.
Le chercheur britannique C. Lewis a travaillé sur le fonctionnement du système de mesures utilisé dans les anciens calendriers mayas et aztèques son adaptation au cercle de Silbury Hill. Selon lui, il ne fait aucun doute que le diagramme figuré sur ce crop circle d’un genre tout à fait nouveau indique une sorte de compte à rebours sur une minuterie en forme « d’horloge-calendrier » inspirée du modèle maya-aztèque.
Chaque carré interne valant 130 ans, la position de l’aiguille sur le dernier carré indique qu’il nous reste un peu plus de 5 % de ces 130 ans à parcourir, soit environ 8 années. Or, si l’on ajoute environ 8 années à août 2004, on tombe à peu près exactement sur l’échéance du 21 décembre 2012 correspondant à la fin des calendriers mayas.
Ce signe sur la terre qui fait opposition aux signes dans le ciel dont fait référence Jésus, porte la marque de fabrication de son maître, le diable, qui nous renvoie à l’échéance de 2012, devant marquer la fin d’un monde, celui de Christ à n’en pas douter et l’avènement d’un monde nouveau qui verra le fils du soleil éclairer la terre pour lui montrer le chemin. On a une datte et le roi soleil, il ne reste plus qu’à attendre les élections de 2012….
Apocalypse 13:16 Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front,