Shabbat Shalom
30102009Mon shabbat prolongé s’achève, j’en ai profité pour mettre en ligne quelques messages audios supplémentaires. http://lettrealepouse.free.fr/menora/7fetes/7fetes01.html
LA FETE DES SEMAINES – Ecouter en MP3 ou télécharger en ZIP
Les symboles européens – MP3 – ZIP
La symbolique du son du shofar (Terouah) – MP3 – ZIP
La symbolique du son du shofar (Yobel) – MP3 – ZIP
Voilà, C’EST FAIT !
A peine de retour et déjà le combat reprend de plus belle
Les dirigeants de l’Union se sont retrouvés jeudi à Bruxelles pour un sommet consacré officiellement à la préparation de la conférence de Copenhague sur le climat mais dominé en coulisse sur le choix du futur président. Jusqu’au bout, Vaclav Klaus aura fait mariner les dirigeants de l’Union européenne dans leur jus, mais pas trop longtemps on s’en serait douté. Le président tchèque, dont la signature était la seule à manquer pour l’adoption du traité de Lisbonne, est parvenu à imposer ses desiderata au cours du sommet européen de Bruxelles, qui se tient depuis jeudi soir et jusqu’à vendredi soir. Lors d’un dîner, les chefs d’État et de gouvernement des Vingt-Sept ont fini par valider la proposition de la présidence suédoise de l’UE d’octroyer à Prague un « opt out » – une exception – à la Charte européenne des droits fondamentaux, identique à ceux déjà obtenus par le Royaume-Uni et la Pologne, comme le réclamait le très eurosceptique Vaclav Klaus . Un diplomate suédois avait auparavant indiqué que les dirigeants avaient « validé le texte sur l’opt out tchèque, avant d’applaudir ». « C’est une très très bonne nouvelle », s’est félicité ce diplomate. Les chefs d’Etat et de gouvernement ont applaudi cet accord qui ouvre la voie à l’entrée en vigueur du Traité avant la fin de l’année mais aussi à la course pour les postes de haut représentant aux Affaires étrangères et de président de l’Union européenne.
En créant un président stable du Conseil européen et un haut représentant pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité, le traité de Lisbonne permettra, une fois ratifié, de donner enfin un visage à l’Europe. Dans un monde de plus en plus multipolaire, l’incarnation de la gouvernance européenne est jugée par beaucoup comme une nécessité. Encore faut-il s’entendre sur le visage que l’on entend, précisément, donner à cette Europe. La France et l’Allemagne semblent de nouveau en position de faiseurs de roi et ont adopté une posture d’attente et d’écoute pour ménager les chances d’un consensus. Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont évoqué le sujet mercredi soir lors d’un dîner à l’Elysée, qui n’a laissé filtrer aucune information sur leur entretien. Toutefois, la chancelière a fait savoir que Paris et Berlin étaient d’accord sur le profil du candidat.
Le candidat retenu aura la charge particulière de faire briller la lumière d’une aube naissante sur l’Europe en donnant corps et autorité à une fonction toute nouvelle dont les contours, définis par le traité, sont plutôt flous. Les récentes présidences tournantes de l’Union européenne, entre l’hyperactif (et coûteux) semestre français et celui, plus terne, du gouvernement tchèque, ont montré combien l’exercice d’une même fonction peut varier. Si la fonction fait l’homme, la réciproque est également vraie. Avec quel projet ? C’est, derrière le choix de la personne, la question de fond. Aménager les institutions n’a de sens que pour renforcer l’Union.
Donner corps et façonner un visage à l’Europe, voilà bien l’objectif prioritaire et numéro un de l’adversaire. Je rappelle que l’Epouse de Christ est désormais nubile et que son visage formé n’attend plus que son éveil, soit l’ouverture des ses yeux que sont les deux témoins. Quand les fils de l’huile (Zacharie 4:14 ) auront suffisamment alimenté les lampes des vierges sages l’heure bénie du retour de l’Epoux viendra. Voilà 6000 ans que les deux semences de Genèse 3 : 15 ont crû pour former leurs corps respectifs et se faire face, et donc au terme des jours la création trouve son accomplissement dans un face à face aux deux visages, celui de l’Europe et l’Epouse de Christ. Comme du temps d’Elie le combat qui vient se réduit à une lutte à mort entre les têtes des deux camps, les deux témoins contre le président européen et le pape. Seul notre Père céleste sait quand le combat final débutera, aujourd’hui ou dans le futur avec des acteurs actuels ou à venir, peut importe car le temps est proche et ces paroles plus que jamais d’actualité, Matthieu 25:13 Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure où le Fils de l’homme viendra.
Catégories : politique