Il était une fois une république laïque
28062010
POUR LA PREMIÈRE fois de l’histoire, signe des temps, un Premier Ministre de la Vè République va inaugurer une Mosquée en France. C’est l’Etat lui-même qui se déplace au temple pour en poser les nouveaux fondements. L’article 2 de la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat est très clair sur la question : « La République ne reconnaît, ne salarie, ni ne subventionne aucun culte ». Nous avons actuellement en France un chanoine président et son premier ministre bâtisseur de mosquée, les deux unis dans le même esprit, pour partager en deux la ville de Jérusalem que Dieu a uni.
François Fillon, sera accompagné de Brice Hortefeux ministre du culte, pour l’inauguration officielle de la nouvelle mosquée d’Argenteuil, dans le Val d’Oise. 800 personnes sont attendues, dont le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, et Mohamed Moussaoui, responsable du Conseil français du culte musulman. Une inauguration solennelle aux allures de main tendue vers la communauté musulmane, au lendemain du débat controversé sur l’identité nationale. Quant à la ville d’Argenteuil, ce choix n’a rien d’un hasard. En 2005, c’est dans ce même quartier, celui de la Dalle, que Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, avait créé la polémique en dénonçant « la racaille ».
Il y a une corrélation très nette entre le recul de la chrétienté et la progression de l’Islam en France. L’irréligion gagne du terrain et les chrétiens, qui abandonnent leur religion, ont une part de responsabilité dans ce fait. Les racines chrétiennes définissaient notre identité nationale française, rappelons-nous que ‘la France est la fille aînée de l’Eglise’ selon les catholiques. La politique de l’ouverture du pape envers les musulmans n’est pas étrangère à cet état de fait, surtout que la réciproque n’est pas vrai, car les chrétiens sont de plus en plus persécutés dans les pays à majorité musulmanes. L’Islam progresse d’autant plus en France que la figure du Christ s’efface. De plus il obtient une reconnaissance de sa doctrine de la part même de chrétiens, ou du moins à ceux qui ce définissent comme tel, comme le président ou son premier ministre.
La Bonne Nouvelle de l’évangile ne suffit pas, l’écoute, le discours théologique ne suffisent pas, car pour être chrétien il faut aller jusqu’au témoignage, dans sa vie quotidienne, dans ses actes, afin de porter les fruits de l’Esprit qui seules témoignent de notre onction qui seul permet à un homme de porter le nom de chrétien, soit ‘oint’. Le chrétien doit s’imprégner des valeurs de l’Evangile et son témoignage doit aboutir au témoignage de Jésus-Christ. 2 Corinthiens 3:18 Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l’Esprit.
Mais quel témoignage donne nos dénominations chrétiennes, du pentecôtisme au catholicisme ? Du show-biz mondain au sein des mégachurches ou des scandales à répétition chez les catholiques, comme en Belgique ces temps-ci. Des perquisitions ont été effectuées jeudi, au siège de l’Eglise catholique de Belgique, dans le cadre d’une enquête sur des actes pédophiles présumés. Le diable décrédibilise totalement la chrétienté avec une déconcertante facilité. Du coup l’évangélisation devient de plus en plus difficile et l’islam progresse.
Qu’y a-t-il de commun entre cet étudiant aide-soignant de Grigny, le rappeur marseillais Akhenaton, le footballeur Franck Ribéry, le chorégraphe Maurice Béjart ou encore Clément, le petit-fils de l’ancien premier secrétaire du Parti communiste Maurice Thorez? Tous ont choisi d’embrasser la foi d’Allah. Ils seraient plus de 60 000 Français convertis à l’islam, confirmant la tendance observée dans de nombreux pays européens ces dernières années. Au ministère de l’Intérieur, un spécialiste évoque même «une dizaine de conversions par jour». Des estimations, puisque, contrairement au christianisme, et plus encore au judaïsme, l’entrée dans l’islam ne nécessite aucune préparation spirituelle. Le postulant n’a qu’à prononcer la formule consacrée, la shahada.
On retrouve dans le Coran des emprunts, à la morale juive et chrétienne de la Bible et des évangiles, environ 80% avec les répétitions. Il comprend également des textes inspirés de la pensée et des désirs personnels de Mahomet, des traditions et des moeurs du paganisme arabe, des légendes, des fables… L’Islam prétend que la source de la révélation faite à Mahomet est le Dieu de la Bible adoré par les Juifs et les Chrétiens. En réalité, Allah, est le nom de la divinité païenne, le dieu lune. A l’époque de Mahomet une statue d’Allah ( dieu lune ) avec 300 ou 360 autre divinités étaient adorées au sanctuaire de la Ka’ba.
L’Islam s’appelle “l’une des trois religions monothéistes”. En réalité c’est l’idolâtrie raffinée, un monothéisme païen. Le “” prophète “” Mahomet a éliminé les autres divinités et a élevé Allah (dieu lune) dieu de la Ka’ba. Allah n’est pas le mot Dieu (ni le Dieu de la Bible), c’est le nom de la divinité lune. Le Dieu de la Bible est Yahvé, le “Je Suis celui qui Suis”. Dans la langue arabe le mot dieu c’est ” ilah “, dans la Chahada: ” la ilah illa Allah ( dieu lune )…”, pas dieu autre qu’Allah ( dieu lune ). L’expression ou plutôt la confession, l’affirmation, “Allah ( dieu lune ) hou Akbar” “Allah ( dieu lune ) est le plus grand”, ne voudrait-elle pas dire que Allah ( dieu lune ) est le plus grand de tous les dieux, divinités adorées à la Mecque.
D’après les historiens, chercheurs et archéologues, Allah ( dieu lune ) était adoré dans la société pré-islamique et il était associé à trois autres divinités. Dans l’antiquité tout un panthéon de divinités était adoré. Il ressort qu’une constante était la norme dans le paganisme ancien, c’est qu’une relation existait entre un dieu-mâle et la déesse-mère, une sorte de famille de divinités, dont la représentation finale fut le culte de la mère et l’enfant, Astarté et Baal.
Avant la venue de l’Islam, les peuples d’Arabie adoraient déjà une déesse trinitaire du désert. AI-Uzza (la puissante), représentait l’aspect de la Vierge guerrière. AI-Lat, dont le nom signifie simplement la « déesse », avait l’aspect de la Mère, reliée à la Terre et ses fruits et le maître de la fécondité. Le troisième aspect était représenté par Manat, la déesse vieille femme qui dirige le sort et la mort. Ces différentes représentations sont le reflet sémitique de la déesse Astarté. Cette déesse adorée dans le monde antique est la même que celle qui est représentée comme la femme, puis la mère de Baal. C’est Astarté, Ishtar, Ashtart (divinité assyro-babylonienne, déesse de l’Amour et de la Fécondité, elle était l’objet de cultes licencieux), Sémiramis, Isis, Vénus, Fortune, Diane, Elat, etc.
Baal, eut des filles, qui furent appelées sous différents noms dans le monde antique. Les Kureïches auraient adopté Allah ( dieu lune ) en tant que Baal, dieu-mâle, et ajouté à son culte les déesses, comme cela se faisait dans le culte de Baal avec ses filles dans le Croissant Fertile.
- AI-Lat (Allat), était la « Dame du temple » au Panthéon sémitique de Palmyre, souvent mentionné dans les sources anciennes. Elle était la déesse mère (al-Ilahal), représentant le soleil, et faisant figure de mère parmi les dieux et les déesses, la Grande Mère Terre dans la mythologie ancienne et l’Astarté des Arabes. De Palmyre elle fut introduite dans la région du Hedjaz. Si Allah ( dieu lune ) signifiait « le dieu », de même AI-Lat signifiait « la déesse », et elle était adorée à Ta’if, ville proche de la Mecque et les Mu-Attib en étaient les prêtres. C’est sous la forme d’une grande pierre de granit blanc qu’elle était adorée.
- Manat, peut-être la déesse d’origine arabe, apparaît avant al-Lat et al-Uzza. Il semble qu’elle soit arrivée en Arabie de Palmyre, ou elle était adorée à côté de Baal. Son sanctuaire se trouvait proche de Yathrib, à Kudaid. Cette déesse du destin, s’occupait des naissances, mariages et de la mort. A la venue de Mahomet sa popularité déclinait, et il fut relativement aisé aux Arabes de l’abandonner pour Allah ( dieu lune ).
- AI-Uzza (la Forte), était la divinité la plus populaire de la Mecque, à l’époque de Mahomet, outre Hubal. Les Arabes sacrifiaient des garçons et des filles à cette déesse. La tradition mentionne que Mahomet dans sa jeunesse lui a offert en sacrifice un agneau blanc.
Dans sa lutte contre les mecquois, Mahomet aurait détruit leur temple de AI-Uzza. Donc, quand ces trois déesses furent détruites, Allah ( dieu lune ) régna d’une façon suprême en Arabie.
Tous est dans son nom. Ainsi, comme chez les babyloniens, puis les catholiques aujourd’hui, la reine du ciel a fini par supplanter tous les autres dieux. La lune dans la symbolique biblique représente l’Epouse. « Hilal » est un mot commun à de nombreuses langues sémitiques telle que l’arabe et signifie « éclat » mais désigne aussi: le croissant de lune représentant l’islam sur les mosquées ou drapeaux de nombreux pays musulmans. Mais ce mot ‘hilal’ peut être rapproché à sa racine sémitique sans les voyelles et donc hébraïque ‘helel’ qui a le même sens, briller, et qui nous amène directement à : Esaïe 14 : 12. Quoi, tu tombes des cieux, astre, fils de l’aube ! Tu es broyé à terre, vainqueur des nations ! הֵילֵל בֶּן־שָׁחַר (hélél bén shakhar) – nom de Satan avant sa chute. http://lettrealepouse.free.fr/menora/babylone%202/bab02.htm
Mais partout, un reste subsiste et témoigne en Yeshoua
DU FONDS DU COEUR D’UN MUSULMAN
Catégories : religion